Friday 25 May 2012

Et Maintenant on va où? / Where Do We Go Now? par / by Nadine Labaki


Dans un village Libanais éloigné, isolés et anonymes qui, malgré les luttes entre Chrétiens et Musulmans dans les régions périphériques, qu'ici les deux factions sont en paix les uns avec les autres. Le village est entouré de champs de mines et ne peut être atteint en traversant un petit pont.
Lorsque le maire convainc les villageois qu'ils devraient mieux connectés au monde extérieur, il envoie Roukoz et Nassim pour obtenir une télévision avec une antenne parabolique et une radio. Le maire proclame qu'il s'agit d'un «jour historique». A mesure que les villageois continuent à regarder la télévision et d’écouter la radio, ils deviennent plus conscients de la lutte religieuse qui se produit à l'extérieur du village.
Un Samedi, Roukoz, un Musulman, essayant de réparé les haut-parleurs dans l'Église Chrétienne. Il tombe de l'échelle; le Croix du Christ casser net. Au cours de la messe le lendemain, le prêtre affirme que la cause était le vent et il suffit de la réparer et de ne pas blâmer les Musulmans. Un peu plus tard, chèvres sont entrées dans la mosquée. L'Imam exhorte ses partisans ne pas de blâmer les Chrétiens.
Au cours d'un rassemblement du village pour discuter les événements récents, un homme Musulman accuse les Chrétiens et le résultat en une altercation mineure. La situation a atteint un point d'ébullition lorsque Nassim est tué au cours d’un feu croisé entre les Chrétiens et les Musulmans dans une autre ville. Les femmes qui souhaitent maintenir la paix prend des mesures extrêmes pour empêcher les hommes de se battre. Ils engager une troupe de danseurs Européennes de l’Est, ajouter le haschich dans des pâtisseries cuites au four, enlever du village les armes des hommes et même «changeait» de religions.
Une comédie culturelle charmant montrant comment c'est souvent les femmes d'une communauté qui va maintenir l'ordre et d'éviter le chaos.
In a remote, isolated and unnamed Lebanese village that despite the strife between Christians and Muslims in the outlying areas, that here both factions are at peace with each other. The village is surrounded by minefields and can only be reached by crossing a small bridge.
When the mayor convinces the villagers that they should be better connected to the outside world he sends Roukoz and Nassim to get a television with a satellite dish and a radio. The mayor proclaims that this is a ‘historical day.’ As the villagers continue to watch the television and listen to the radio, they become more aware of the religious strife occurring outside the village.
On a Saturday, Roukoz, a Muslim, is trying to repair the speakers in the Christian church. He falls off the ladder; snapping the Cross of Christ in two. During mass the next day, the priest says the cause is the wind and to just repair it and not to blame the Muslims. A short while later, goats have entered the Mosque. The Imam urges his followers not to blame the Christians.
During a village gathering to discuss recent events, one Muslim man blames the Christians and the result is a minor scuffle. The situation reaches a boiling point when Nassim is killed during crossfire between Christians and Muslims in another town. The women wishing to maintain the peace go to extreme measures to keep the men from fighting each other. They hire a troupe of Eastern European dancers, spike baked pastries with hashish, removing the men’s weapons from the village and even ‘change’ religions.
A delightful cultural comedy showing how it is often the women of a community who will maintain order and prevent chaos.


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