Sunday, 18 December 2011

Omar m’a Tuer / Omar Killed Me par / by Roschdy Zem

Stirring account of Omar Raddad’s (Sami Bouajila) who was falsely accused  and sentenced for the brutal murder of his boss, 65-year-old  Madame Ghislaine Marchal. She was a rich widow. He was her gardener. He spoke very little French.
Her mutilated corpse (stabbed and beaten) was discovered near the door to her basement in her villa in an affluent suburb north of Cannes. Her time of death was determined to be June 23rd 1991. The primary evidence used against Omar was an inscription written in her own blood on the door that read “Omar m’a Tuer” which would roughly translate as “Omar has Kill Me”. He also had penchant for playing the slot machines so it was claimed that he had requested an advance, was refused and brutally killed Madame Marchal in anger.
After his conviction in January 1994, humanist novelist Pierre-Emmanuel Vaugrenard (Denis Podalydès) decides to investigate the case and prove that Omar Raddad was innocent. He firmly believed that Omar was a victim of racism and the real killer had escaped justice.
Strongly shows how racial prejudice can cloud the pursuit of justice. Quite often an innocent man will be incarcerated or executed (examples galore in the United States vis-à-vis the blacks. Omar Raddad had to spend 18 years in jail before he was declared innocent. The film also shows the fragility of life. Things can be going well then due to hidden agendas, political or judicial expediencies can turn a once tranquil life into a living hell.

Récit émouvant d’Omar Raddad (Sami Bouajila) qui avait été faussement accusé et condamné pour le meurtre brutal de son patron, Madame Ghislaine Marchal âgé de 65 ans. Elle était une veuve riche. Il était son jardinier. Il parlait très peu le Français.
Son cadavre mutilé (poignardé et battu) a été découverte près de la porte de son sous-sol dans sa villa dans une banlieue nord de Cannes. Son temps de la mort était déterminé à être le 23 Juin 1991. La principale preuve utilisée contre Omar a été une inscription écrite dans son propre sang sur la porte qui disait «Omar m’a Tuer», qui se traduirait en Anglais à peu près comme «Omar has Kill Me». Il avait aussi penchant pour jouer les machines à sous, donc il a été allégué qu'il avait demandé une avance, a été refusé et a brutalement tué Madame Marchal en colère.
Après sa condamnation en Janvier 1994, écrivain humaniste Pierre-Emmanuel Vaugrenard (Denis Podalydès) décide d'enquêter sur l'affaire et de prouver qu'Omar Raddad était innocent. Il croyait fermement qu'Omar a été victime du racisme et le vrai tueur avait échappé à la justice.
Montre fortement comment Les préjugés raciaux peuvent nuée la quête de la justice. Très souvent un innocent sera incarcéré ou exécuté (des exemples en abondance dans les États-Unis vis-à-vis les noirs. Omar Raddad devait passer 18 ans en prison avant il fut déclaré innocent. Le film montre aussi la fragilité de la vie. Les choses peuvent  bien se passer due a des intentions cachées, opportunisme  politiques ou judiciaire peut transformer une vie une fois tranquille dans un enfer vivant.


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