Taking shelter under the Rashomon gate,
a woodcutter is repeating the phrase “I don’t understand. I just
don’t understand.” Looking over his shoulder is a priest. A
commoner joins them. When he inquires what it is the woodcutter and
priest don’t understand, they reply that they have witnessed a
disturbing story.
The woodcutter recounts that, on his
way into the forest to cut wood three days earlier, he discovers the
body of a samurai impaled by a sword. In a state of panic, he flees
to notify the authorities. The priest says that he saw the samurai
travelling with a woman on the same day. Both men and the woman, were
later summoned to testify in court where they meet Tajōmaru, a local
bandit accused of the murder.
During the trial, Tajōmaru then the
woman and lastly the samurai (through a medium) give their
testimonies as to what had transpired. Back at the gate (after the
trial) the woodcutter recounts to the commoner what really happened.
He had actually witnessed the whole incident. They are interrupted by
the sound of a crying baby. When they find it, the commoner takes the
kimono and amulet that had been left for the baby. The woodcutter
accuses him of being a thief. Mocking the woodcutter, the commoner
claims that “all men are motivated by self interest”.
Ce chef-d'œuvre cinématographique Japonais de
1950 raconte un crime inquiétant de ceux qui ont été témoins du
crime et d'autres personnes impliquées. Il est historiquement
significatif car il a introduit le reste du monde au cinéma
Japonais. Il a remporté de nombreux prix et est considéré comme
l'un des plus grands films jamais réalisés.
Se réfugier sous la
porte de Rashomon, un bûcheron répète l'expression «Je ne
comprends pas. Je ne comprends pas. »En regardant par-dessus son
épaule est un prêtre. Un roturier les rejoint. Quand il demande ce
que le bûcheron et le prêtre ne comprennent pas, ils répondent
qu'ils ont été témoins d'une histoire troublante.
Le
bûcheron raconte que sur son chemin dans la forêt pour couper du
bois trois jours plus tôt, il découvre le corps d'un samouraï
empalé par une épée. Dans un état de panique, il s'enfuit pour
aviser les autorités. Le prêtre dit qu'il a vu le samouraï
voyageant avec une femme le même jour. Les deux hommes et la femme
ont été convoqués plus tard pour témoigner au tribunal où ils
rencontrent Tajōmaru, un bandit local accusé du meurtre.
Pendant
le procès, Tajōmaru puis la femme et enfin les samouraï (par un
moyen) donnent leurs témoignages quant à ce qui avait transpiré.
De retour à la porte (après le procès), le bûcheron raconte au
peuple ce qui s'est réellement passé. Il avait effectivement été
témoin de l'incident. Ils sont interrompus par le bruit d'un bébé
qui pleure. Quand ils le trouvent, le roturier prend le kimono et
l'amulette qui avaient été laissés pour le bébé. Le bûcheron
l'accuse d'être un voleur. Se moquant du bûcheron, le roturier
prétend que «tous les hommes sont motivés par l'intérêt
personnel».
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