Jafaar (Sasson Gabay) est un pauvre pêcheur Palestinien qui vivre au Gaza occupée par Israël avec son épouse Fatima (Baya Belal). La police Israélienne a mis un poste d'observation sur le toit de leur maison. En raison des contraintes exercées sur lui par les autorités Israéliennes, Jafaar est seulement capable d’attraper des sardines dans ses filets. Ceci n’a pas intérêts pour les acheteurs de poisson, donc il retourne chez lui souvent aux mains vides. D’un jour particulier, après une grosse tempête (de nombreux éléments inhabituels rester pris dans les filets des pêcheurs), Jafaar remonte un cochon de 100 livres. Ceci, lui fait peur, comme pour les Palestiniens et les Israéliens, même de toucher un cochon ou de l’avoir foulé sur le sol de leurs terres entraînerait un à être «impur». D’essayer de vendre le cochon ou d'en tirer profit, conduit Jafaar à de nombreuses mésaventures et des situations maladroits comme il fait face à la pauvreté, l'occupation militaire et l'extrémisme religieux.
La version de ce film n'était pas dans sa langue originale avec des sous-titres mais doublée en Français et en tant que telle a perdu beaucoup de son potentiel dans la traduction. Le synopsis a tenu la promesse d'un film très drôle (à l'instar de, disons, la série Britannique «Carry On ... »), mais plutôt l'humour du film était tirée par les cheveux et le résultat a été un exercice irréaliste et non-engageante dans la futilité.
Estibal’s debut feature film as a
director is a comedic political parable that, according to Estibal himself is
intended to show the absurdity of the situation between Palestinians and
Israelis in the Gaza Strip. Jafaar (Sasson Gabay) is a poor Palestinian
fisherman living in Israeli occupied Gaza with his wife Fatima (Baya Belal).
The Israeli police have put an observation post on the roof of their home. Due
to limitations placed upon him by the Israeli authorities, Jafaar is only able
to catch sardines in his nets. This does not interest the fish buyers so he
often comes home empty-handed. On one particular day, after a big storm (many
unusual items get caught in fisherman’s nets); Jafaar hauls in a 100-pound pig.
This, alarms him, as for both Palestinians and Israelis, even touching a pig or
having it walk upon the soil of their land would cause one to be ‘impure.’
Trying to sell the pig or to profit from it, leads Jafaar to many misadventures
and awkward situations as he faces poverty, military occupation and religious
extremism.
The version seen of this film was not in its original
language with subtitles but dubbed into French and as such lost a lot of its potential
in translation. The synopsis held out the promise of a very funny film (along
the lines of, say, the British series “Carry on ...”) but instead the film’s
humour was contrived and the overall result was an unrealistic and un-engaging exercise
in futility (along the lines of, say, the British series “Carry on ...”) but
instead the film’s humour was contrived and the overall result was an unrealistic
and un-engaging exercise in futility.
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