Du
14 au 20 Août 2020 / From 14 to 20 August 2020
Chronique
de Films vus / Chronicle of Films seen
Un aperçu de tous les films vus au festival de cette année.
A
run-down of all the films seen at this year’s festival.
After / Après:
Claude Ou (le plus
Bel Arbre en Gaspésie), Canada 2019, 10m30s, Thomas Landry, Hugo Pires, Aubert
Sénéchal
Gaspesian painter, Claude Bélanger is a man, imbued with an enormous joie de vivre and perseverance. After a long exile, Bélanger returns to Gaspésie and starts creating three-dimensional paintings that includes using materials from the sea. In a series of interviews, artistic demonstration and a stroll through the picturesque landscapes that have influenced his work, the filmmaker traces Bélanger’s sinuous life course.
À la Rescousse de l’Ours, Canada 2019, 3m12s, Louis Bodart
Un monstre sous le lit vole l'ours en peluche d'un petit garçon🐻. Il aime tellement son ours en peluche, qu'il attrape le pied du monstre et le suit dans sa dimension...
An under-the-bed monster steals a little boy’s teddy bear🐻. He loves his teddy bear so much, that he grabs the monster’s foot and follows it back into its dimension…
Prisons sans Barreaux / Prisons without Borders, Canada 2019, 73m,
Nicole Giguère / Isabelle Hayeur (Qc38)
Ce
film révélateur et attendu depuis longtemps met en lumière un problème de santé
extrêmement grave, peu connu et malheureusement largement ignoré. Les effets
des champs électromagnétiques d'exposition massive (du WiFi, des appareils
intelligents, des automobiles, des maisons, etc.) et des produits chimiques
(solvants, détergents, etc.) affectent déjà beaucoup. Dans ce film. nous
rencontrons quatre de ces personnes – Isabelle, Kathya, Jean-François, Jayden
et Sylvain. Ainsi que des spécialistes du domaine qui commencent à tirer la
sonnette d'alarme. Les scènes les plus puissantes sont celles qui montraient
les champs électromagnétiques provenant des pylônes électriques. Des films
comme ceux-ci sont d'une importance vitale pour améliorer et maintenir notre
santé.
This
eye-opening, and long overdue, film brings to light an extremely serious,
little-known and unfortunately, largely ignored health issue. The effects of massive exposure electromagnetic fields (from WiFi,
smart appliances, automobiles, homes, etcetera) and chemical products
(solvents, detergents, etcetera) are already affecting many. In this film. we
meet four of these individuals
– Isabelle, Kathya, Jean-François, Jayden and Sylvain. As well, specialists in
the field who are beginning to sound the alarm. The most powerful scenes are
those that showed the electromagnetic
fields streaming from the electrical towers. Films like these are
vitally important in improving and sustaining our health.
Vu au cours de /
Seen during:
Hvítur Hvítur Dagur / A White White Day / Brumes
d'Islande, Iceland / Islande /
Denmark / Danemark / Sweden / Suède 2019, 109m, Hlynur Pálmason N48
An old Icelandic saying:
"When the earth and sky unite and
everything is white, there is no difference between the dead and the
living."
Un vieux dicton
Islandais:
"Quand la
terre et le ciel s'unissent et que tout est blanc, il n'y a aucune différence
entre les morts et les vivants."
Police chief Igimundu lives in a remote town on the eastern coast
of Iceland, is now off duty, grieving the loss of his wife due to a fatal car
accident on an extremely foggy day. His grief intensifies into an obsession to
find out what really happened. Leafing through his wife’s diaries, he focuses
his suspicions on one of his neighbors. As his obsession accumulates, his anger
follows suit, quickly reeling out of control. He lashes out at those closest to
him, especially Salka, his eight-year-old granddaughter, and his colleagues.
Igimundu, le chef de la police,
vit dans une ville isolée sur la côte est de l'Islande, est maintenant en
congé, pleurant la perte de sa femme en raison d'un accident de voiture mortel
en un journée extrêmement brumeuse. Son chagrin s'intensifie en une obsession
de découvrir ce qui s'est réellement passé. Feuilletant le journal de sa femme,
il concentre ses soupçons sur l’un de ses voisins. Alors que son obsession
s'accumule, sa colère lui emboîte le pas, devenant rapidement incontrôlable. Il
s'en prend à ses proches, en particulier ses collègues et Salka, sa
petite-fille de huit ans.
Son rythme lent ajoute à la
tension croissante du film.
Doe and She-wolf / Biche et
Louvre, Canada 2020, 11m13s, Sandrine Béchade
Deux adolescentes –
Bea et Zoe – sont perdues dans les bois. Lorsque Zoe décide d'aller chercher de
l'aide, Bea est laissée seule, incapable de bouger en raison d'une blessure.
Peu de temps après, elle vit une expérience menaçante (comme dans Le Petit
Chaperon Rouge).
Two teenage girls – Bea and Zoe – are lost in the woods. When Zoe decides to go for help, Bea is left alone, unable to
move due to an injury. Shortly thereafter, she has a threatening experience (as
in Little Red Riding Hood).
Un regard poétique et ludique sur la
beauté du mouvement ordinaire et la grande chorégraphie humaine; une douce
incursion dans le temps, l'espace et le corps. Le cinéaste suit le chorégraphe Français
de renom Thierry Thieû Niang alors qu'il part en tournée en 2017 pour proposer
des ateliers intergénérationnels pour les non-danseurs. Ce film, en dix
chapitres, nous entraîne dans les univers riches, artistiques et intimistes de
la danse et du mouvement. D'une certaine manière, à travers ses chorégraphies,
c'est aussi un portrait de Thierry Thieû Niang.
A poetic and playful look at the beauty of ordinary movement and the
great human choreography; a gentle foray into time, space and the body. Filmmaker follows renowned French choreographer Thierry Thieû Niang as he goes on tour in
2017 to offer intergenerational workshops for non-dancers. This film, in the form of ten chapters,
draws us into the rich, artistic and intimate worlds of dance and movement. In
a way, through his choreographies, it is also a portrait of Thierry Thieû
Niang.
Napoleon Sarony (1821-1896), est
un pionnier de la photographie de célébrités. Le cinéaste, lui-même
photographe, compare la vie de Sarony à celle de trois photographes actuels.
Napoleon Sarony (1821-1896), is a pioneer of celebrity photography.
The filmmaker, who is a photographer himself, compares the life of Sarony with
that of three present day photographers.
At 42, Gino retires from the city and work
and lives in an isolated cottage where he lives simply, but fully.
Speak Love, Canada, 2019, 80m, Emmanuel Tardif Liliane quitte sa maison vide pour vagabonder. Elle rencontre Maya, qui est un peu plus âgée. Ensemble, ils errent dans des lieux simples. Ce faisant, ils se lient, fuient et se battent, tout en échangeant des déclarations passionnées. Le dialogue énigmatique déstabilise à la fois les protagonistes et le public. Cela donne l'impression d'être dans un rêve éveillé, alors que des portes apparaissent dans des endroits insolites, un moment où vous êtes en ville: le suivant dans les bois. Un film expérimental et aventureux qui contient de la poésie avec un flair artistique. Si vous aimez ces trois caractéristiques, ce film est fait pour vous.
Liliane leaves her empty house to wander about. She meets
Maya, who’s a bit older. Together they wander through
simple places. As they do so, they bond, flee and fight, all the while, exchanging passionate
declarations to
each other. The enigmatic dialogue destabilizes both protagonists and the
audience. It gives the sense of being in a waking dream, as doors appear in
unusual locations, one moment you are in the city: the next in the woods. An
experimental and adventurous film that contains poetry with an artistic flair.
If you love these three characteristics, then film is for you.
Homesick, France /
Japan / Japon 2018, 27m26s, Koya Kamura
Deux ans après la
catastrophe nucléaire de Fukushima, Murai brave des niveaux dangereux de
radioactivité alors qu'il se promène dans la zone interdite pour passer du
temps avec Jun, son fils âgés de huit ans. En même temps, il cherche à retourner
des objets personnels laissés par ses voisins.
Two years after the Fukushima nuclear
disaster, Murai braves dangerous levels of radioactivity as he wanders through
the no-go zone in order to spend time with Jun, his eight-year-old son. At the
same time, he searches to bring back personal items left behind by his
neighbors.
Faces Without Visage, Iran
2019, 8m, Hesam Rahmani
Le père du cinéaste
souffre de démence depuis près de six ans et il est déconnecté de la réalité.
Grâce à l'utilisation de photos de famille et à la mise en évidence
d'événements significatifs, le cinéaste dépeint adéquatement l'évolution de la
perte de mémoire chez les patients diagnostiqués avec la démence.
Filmmaker’s father has been suffering from dementia for almost six years and he is disconnected from reality. Through the use of family photos and highlighting significant events, the filmmaker adequately portrays the evolution of memory loss in patients diagnosed with dementia.
*) One film seen after the festival
that has been starred.
*) Un film vu après
le festival qui a été étoilée.
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