Friday, 1 February 2013

Rouge Sang / The Storm Within par / by Martin Doepner


C'est le 31 Décembre 1799. Espérance et Pierre possèdent une ferme dans la vallée du Bas Saint-Laurent, isolés de leurs voisins. Ils ont 3 enfants – Mathurin, Madelon et un nouveau né. Pierre quitte pour réapprovisionnée, emmenant son fusil. Espérance l’avertit de faire attention qu'il n'est pas vu par les tuniques rouges.    
Quelque temps plus tard, 2 tuniques rouges apparaissent à la ferme. Pensant qu'il est vide, ils entrent dans la cabane. Ils partent quand ils voient Espérance et ses enfants. Une tempête de neige commence. Les 2 retournes, accompagnées par trois autres. L'un des 2 a été blessé. Le capitaine demande Espérance pour l'aide, de nourriture et d'abri pour la nuit. Alors que la nuit s’avance, la neige continue à tomber, les tuniques rouges célèbrent – les tentations augmente, la tension monte et les soupçons sont éveillés, aboutissant à des actes inimaginables; tout ceci contre la cinématographie à couper le souffle de la paysage de la vallée du Bas Saint-Laurent du de Bertrand Calmeau. 
Je m'attendais que ce film pourrait m'apprendre un peu sur l'occupation Britannique du Bas-Canada, mais au lieu de cela, j'ai senti qu'il soit un véhicule de la propagande pour le séparatisme au Québec, comme il déshumanisé les Britanniques, principalement en les identifiant avec ce qu'ils sont au lieu de leurs identité – Le Capitaine, Le Vulgaire, Le Laid, Le Blessé et Le Jeune. Aucun d'entre eux n'avaient aucun sens de l'humanité et étaient décrits comme brutal, vulgaire, ignorant etcetera. La fin du film a été très décevante.   
 

It is December 31st 1799. Espérance and Pierre own a farm in the Lower Saint-Laurence valley, isolated from their neighbours. They have 3 children Mathurin, Madelon and a new born. Pierre leaves to replenish their supplies, bringing his rifle. Espérance warns him to be careful that he is not seen by the Redcoats.  
A short while later, 2 Redcoats show up at the farm. Thinking it to be empty, they enter the cabin. They leave when they see Espérance and her children. A blizzard commences. The 2 return accompanied with 3 others. One of the first 2 has been wounded. The captain asks Espérance for help, food and shelter for the night. As the night wears on, the snow continues to fall, the Redcoats celebrate – temptations mount, tensions rise and suspicions are aroused, culminating in unimaginable acts; all of this against the breathtaking cinematography of the Lower Saint-Laurence valley landscape by Bertrand Calmeau.
I expected that this film would teach me a little about the British occupation of Lower Canada, but instead I felt it to be a vehicle of propaganda for Quebec separatism as it dehumanized the British, mainly by identifying them with what they are instead of who they are – The Captain, The Vulgar, The Ugly, The Injured and the Boy. None of them had any sense of humanity and were portrayed as brutish, vulgar, ignorant etcetera. The ending of the film was very disappointing.

 

 

 

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