C'est le 31 Décembre 1799. Espérance et Pierre
possèdent une ferme dans la vallée du Bas Saint-Laurent, isolés de leurs
voisins. Ils ont 3 enfants – Mathurin, Madelon et un nouveau né. Pierre quitte
pour réapprovisionnée, emmenant son fusil. Espérance l’avertit de faire
attention qu'il n'est pas vu par les tuniques rouges.
Quelque temps plus tard, 2 tuniques rouges
apparaissent à la ferme. Pensant qu'il est vide, ils entrent dans la cabane.
Ils partent quand ils voient Espérance et ses enfants. Une tempête de neige
commence. Les 2 retournes, accompagnées par trois autres. L'un des 2 a été
blessé. Le capitaine demande Espérance pour l'aide, de nourriture et d'abri pour
la nuit. Alors que la nuit s’avance, la neige continue à tomber, les tuniques
rouges célèbrent – les tentations augmente, la tension monte et les soupçons sont
éveillés, aboutissant à des actes inimaginables; tout ceci contre la cinématographie
à couper le souffle de la paysage de la vallée du Bas Saint-Laurent du de Bertrand
Calmeau.
Je m'attendais que ce film pourrait m'apprendre un peu
sur l'occupation Britannique du Bas-Canada, mais au lieu de cela, j'ai senti
qu'il soit un véhicule de la propagande pour le séparatisme au Québec, comme il
déshumanisé les Britanniques, principalement en les identifiant avec ce qu'ils
sont au lieu de leurs identité – Le Capitaine, Le Vulgaire, Le Laid, Le Blessé et
Le Jeune. Aucun d'entre eux n'avaient aucun sens de l'humanité et étaient
décrits comme brutal, vulgaire, ignorant etcetera. La fin du film a été très
décevante.
It
is December 31st 1799. Espérance and Pierre own a farm in the Lower
Saint-Laurence valley, isolated from their neighbours. They have 3 children – Mathurin, Madelon and a new born. Pierre leaves to replenish
their supplies, bringing his rifle. Espérance warns him to be careful that he
is not seen by the Redcoats.
A short while
later, 2 Redcoats show up at the farm. Thinking it to be empty, they enter the
cabin. They leave when they see Espérance and her children. A blizzard
commences. The 2 return accompanied with 3 others. One of the first 2 has been wounded.
The captain asks Espérance for help, food and shelter for the night. As the night
wears on, the snow continues to fall, the Redcoats celebrate – temptations
mount, tensions rise and suspicions are aroused, culminating in unimaginable
acts; all of this against
the breathtaking cinematography of
the Lower Saint-Laurence
valley landscape by Bertrand Calmeau.
I expected that
this film would teach me a little about the British occupation of Lower Canada,
but instead I felt it to be a vehicle of propaganda for Quebec separatism as it
dehumanized the British, mainly by identifying them with what they are instead
of who they are – The Captain, The Vulgar, The Ugly, The Injured and the Boy.
None of them had any sense of humanity and were portrayed as brutish, vulgar,
ignorant etcetera. The ending of the film was very disappointing.
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