Tuesday, 31 May 2011

Amor y Frijoles / Love and Beans / Amour et les Haricots por / by / par Mathew Kodath, Hernán Pereira





Honduras gained its independence from Spain in 1821, yet in all of its history this is only its fifth feature film in all of its history. For more details see: http://www.filmbirth.com/honduras.html
When I noticed the above mentioned detail in the 2011 Festivalissimo catalogue and that there was only one screening, I thought to myself that this was definitely “A Must-See.” So on Saturday May 28th, I mustered up all of the energy I could to be at the screening venue on time for its 1pm screening.
Prior to the screening, I briefly spoke to the founder and director of the festival, Elisa Pierra. My heart sank a bit, when she said that the copy received had no subtitles. Well, I have previously seen a Polish film (back in 2003) with no subtitles and did understand the gist of it. And I figured my current knowledge of Spanish would allow me an even greater understanding of this one. Alas such was not the case.
After the screening, I spoke again to the director, who was also was accompanied by a representative of the Honduran Consulate. I made a suggestion that in a future edition there be a retrospective of Honduran Cinema and screen every film released in its history. Both tended to agree that it would be worthwhile.
What I did pick up from the film was that it did seem to be a delightful comedy about sexual politics and the dangers of jealousy.


Honduras a obtenu son indépendance de l'Espagne en 1821, pourtant, dans l'ensemble de son histoire, ceci est seulement le cinquième long métrage dans l'ensemble de son histoire. Pour plus de détails, voir: http://www.filmbirth.com/honduras.html
Lorsque j'ai remarqué ce détail mentionné ci-dessus dans le catalogue de Festivalissimo 2011 et qu'il y’avait seulement une projection, je me suis dit qu'il s'agissait catégoriquement «un incontournable». Donc le Samedi 28 Mai, j'ai rassemblés tous de l'énergie, j'ai peu pour être sur les lieux de la projection à 13h. 
Avant  la projection, j'ai parlé brièvement avec le fondateur et le directeur du festival, Elisa Pierra. Mon cœur à désespérer un peu lorsqu'elle ma dit que la copie reçu n’avait aucun sous-titres. Bien j’avais déjà vu un film Polonais (en 2003) avec aucun sous-titres et en effet j’avais compris l'essentielle. Et j'ai pensé que avec ma connaissance actuelle de l'Espagnol ca me permettrait une compréhension plus grande de celle-ci. Hélas ce n'était pas le cas.
Après la projection, j'ai parlé à nouveau au directeur, qui était aussi a été accompagné par le représentant du consulat Hondurien. J'ai fait une suggestion que dans une future édition il programme une rétrospective de cinéma Hondurien et projetant les cinq films sorti. Tous deux avaient tendance à s'entendre qu'il serait utile. 
Ce que j'ai compris du film, c'est qu'il ne semble pas être une délicieuse comédie sur la politique sexuelle et les dangers de la jalousie.


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