Directed by / Réaliser par Andrew Rossi
The New York Times is an American daily newspaper that is based in New York City and has been published continuously since its founding in 1851. Its motto is "all the news that’s fit to print." It is the third largest newspaper, behind the Wall Street Journal and USA Today, overall.
This thought provoking documentary enters the inner sanctum of the news organization that has garnered the most Pulitzer Prizes (106). The film follows four (David Car, Brian Stelter, Bruce Headlam, Tim Arango) of the Times leading writers and editors on the media-desk. David Car (25-years as a reporter) writes a weekly column that focuses on the intersection of media with business, culture and business. He says what is on his mind with a charismatic and iconoclastic approach.
Brian Stelter was discovered by the New York Times when they uncovered his identity as the founder of the anonymous blog “tvnewser.com”. He was hired in 2007 at the age of 21.
Bruce Headlam is the media-desk editor and is a long-time veteran of the paper.
At the beginning of “Page One”, Tim Arango is an inquisitive reporter for the media desk and then volunteers to report from the war zone in Bagdad and subsequently appointed by the Times as Bagdad Bureau chief.
At present, the journalistic landscape is at an important crossroads. Can our daily paper continue as it has for almost 200 years in the face of technological development? Can they counteract the disappearance of the old per diem models of print and broadcasting (2,800 American newspapers have gone out of business in the past decade) by finding truly sustainable new ones to be able to compete against on-line media such as WikiLeaks, Twitter, Blogs etc? As well the current situation poses two serious risks. The first is that the news becomes more of a form of entertainment rather than informing the public of the true issues facing humanity. The second is the risk that governments, business and other wells of power, no longer being watched over by journalists dedicated in uncovering the truth (example Watergate). These wells of power will then disseminate false information and be guilty of human rights violations.
Le New York Times est un quotidien Américain qui est basé à New York et a été publié sans interruption depuis sa fondation en 1851. Sa devise est «toute les nouvelles qui s’inscrive à imprimer.» C'est le troisième plus grand journal, âpres le Wall Street Journal et USA Today, dans l'ensemble.
Ce documentaire à réfléchir pénètre dans le sanctuaire de l'organisation de nouvelles qui a recueilli le plus les prix Pulitzer (106). Le film suit quatre (David Car, Brian Stelter, Bruce Headlam, Tim Arango) des écrivains et rédacteurs principaux sur le média-desk du Times.David Car (25 ans en tant que journaliste) écrit une chronique hebdomadaire qui se concentre sur l'intersection des médias avec les entreprises, de culture et d'affaires. Il dit ce qui est sur son esprit avec une approche charismatique et iconoclaste.
Brian Stelter a été découvert par le New York Times, lorsqu'ils ont découvert son identité comme le fondateur du blog anonyme «tvnewser.com». Il a été embauché en 2007 à l'âge de 21 ans.
Bruce Headlam est le rédacteur du média-desk et est un vétéran de longue date du journal.
Au début de «Page Un», Tim Arango est un journaliste inquisiteur pour le média-desk, puis il se propose de faire rapport de la zone de guerre à Bagdad et ensuite il est nommé le Times, chef du Bureau de Bagdad.
À l'heure actuelle, le paysage journalistique est à un croisement important. Puisse notre journal quotidien peu continuer comme il l'a fait depuis presque de 200 ans face au développement technologique? Peuvent ils contrebalancer la disparition des anciens modèles d’indemnités journalières de l'impression et la radiodiffusion (2,800 journaux Américains ont disparu du marché durant la dernière décennie) en trouvant de nouvelles véritablement durable afin de concurrencer avec les médias en ligne tels que WikiLeaks, Twitter, Blogs, etc.? Ainsi, la situation actuelle pose deux risques graves. La première est que les nouvelles deviennent juste une forme de divertissement plutôt que d'informer le public des véritables enjeux que l'humanité confronte. Le deuxième est le risque que les gouvernements, les entreprises et les autres puits de puissance, n'est plus regardées par les journalistes dédiés à découvrir la vérité (exemple du Watergate). Ces puits de puissance vont ensuite diffuser des informations fausses et être coupable de violations des droits de l'homme.
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